8 out of 10
 

L'histoire a lieu au village inventé de Long Bay, qui semble avoir un infestation de castors. Entraîneur Foley récoupe une pierre de curling qui a été lancé dans un lac il y a 10 ans. C’étais au jeu célèbre auquel skip Chris Cutter (Paul Gross) a triché. Foley meurt immédiatement d’une crise cardiaque et sa dernière demande est que ses cendres soit mis sous le manche de la pierre récouperé, et que les quatre membres origineaux de son équipe se réunissent pour gagner le “Balai D’or", le meilleur prix de curling de Long Bay.

Chris recrute son père (Leslie Neilson), qu’il n’a pas vu depuis longtemps, come entraîneur, et les quatre gars chassent leur destin.En ce temps, nous sommes montrés l’aspect amoureux de les vies des joueurs, Chris en particulier. Quelques années plus tôt, Chris a abandoné la fille de Foley, Julie, le jour de son mariage, depuis lequel elle est devenue astronaute.

Sa soeur, Amy, une mêre isolé alcoolique, a les yeux pour Chris.Près du débout, on a l’impression que ce flic serait trop bébête, avec trop de grosse farces, mais celui ci améliore et devient croyable plus tard. Et ça nous montre les points fins de curling.‘Un homme et un balai’ est plein d’aspects canadiens: Gross, Neilson, le curling, groupe rock The Tragically Hip, bière Moosehead... mais aucun mention du son ‘eh’!Le meilleur moment arrive lorsque l’équipe, pendant qu’ils s’entraînent, sautent nus dans le lac.Après le fin du film, ça montre des scènes gâché très droles, alors ne quitte pas le théâtre avant le générique. Ce film est essentiel pour les canadiens patriotes adultes ou prèsque (c’est un peu trop de maturité et malédictions pour les plus jeunes).Hommes lancent pierres, gagnent coeurs canadiens.